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Comment investir dans des starts-up ? Notre guide débutant

Comment investir dans des starts-up ? Notre guide débutant

Les start-up font rêver : innovation, croissance rapide, valorisations spectaculaires… Mais derrière les success stories se cache un univers complexe, réservé jusqu’à récemment à une poignée d’investisseurs avertis. Bonne nouvelle : ce n’est plus le cas.

Qu’est-ce qu’une start-up ?

Le terme "start-up" est souvent utilisé pour désigner de jeunes entreprises innovantes, à fort potentiel de croissance, généralement en phase de développement ou de lancement. Mais au-delà du cliché de la petite entreprise tech fondée dans un garage, que recouvre réellement cette notion ?

Une entreprise innovante à fort potentiel

Une start-up se distingue avant tout par son modèle économique innovant et sa capacité à croître rapidement. Elle développe souvent un produit ou un service nouveau, ou apporte une rupture dans un secteur existant. Cette innovation peut être technologique, mais pas uniquement : elle peut aussi concerner les usages, les modes de distribution ou l’expérience utilisateur.

Un modèle souvent déficitaire au départ

Contrairement à une entreprise classique, une start-up n’a pas vocation à être immédiatement rentable. Elle investit d’abord dans le développement de son produit, l’acquisition de clients et la structuration de son activité. Cela implique souvent plusieurs levées de fonds avant d’atteindre un modèle pérenne.

Des risques assumés pour des ambitions élevées

En investissant dans une start-up, on parie sur sa capacité à changer d’échelle rapidement, à séduire un marché large et à s’imposer face à la concurrence. Ce pari s’accompagne de risques importants, mais également de perspectives de gains potentiels élevés si la croissance est au rendez-vous.

Les différents types de start-up dans lesquels investir

Toutes les start-up ne se ressemblent pas. En tant qu’investisseur, il est essentiel de bien comprendre le secteur d’activité de l’entreprise dans laquelle vous souhaitez placer votre argent. Les start-up peuvent être rangées en grande catégorie selon leur secteur d’activité :

  • Les start-up technologiques (Tech) : souvent positionnées sur des marchés à forte croissance (intelligence artificielle, biotechnologie, cybersécurité, blockchain, etc.), elles attirent beaucoup de capitaux mais présentent également un risque élevé lié à la concurrence et à l’obsolescence rapide des technologies.
  • Les start-up de la green tech : en phase avec les enjeux environnementaux actuels, ces entreprises innovent dans les domaines de l’énergie renouvelable, du recyclage, de la mobilité propre ou encore de l’agriculture durable. Chez Goodvest, nous avons développé une expertise pour vous proposer un portefeuille en private equity dédié à la transition écologique pour apporter des financements aux jeunes pousses du secteur !
  • Les start-up de la santé (Health tech) : elles développent des solutions médicales, des dispositifs connectés ou encore des outils de suivi pour les patients. Ce secteur bénéficie d’un soutien public croissant et d’une demande structurellement forte.
  • Les start-up de la fintech : ces jeunes pousses révolutionnent les services financiers (paiement, gestion d’épargne, crédit) avec des modèles souvent plus agiles que ceux des institutions traditionnelles.
  • Les start-up à impact social ou sociétal : elles cherchent à concilier rentabilité et utilité sociale, en répondant à des enjeux de société comme l’éducation, l’inclusion ou le vieillissement de la population.


Avant d’investir, il peut être pertinent de vous interroger sur vos propres convictions : souhaitez-vous simplement viser une forte rentabilité, ou privilégier des projets à impact environnemental ou social positif ? Chez Goodvest, nous mettons en avant l’investissement responsable dans des start-up alignées avec ces valeurs.

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Quelles sont les différentes formes d’investissement en start-up ? 

Investir dans une start-up ne se fait pas de la même manière que l'achat d'actions cotées en Bourse. Il existe plusieurs mécanismes juridiques et financiers permettant aux particuliers d’entrer au capital ou de financer une jeune entreprise. Les principales sont la souscription au capital et le prêt obligataire.

Le private equity ou souscription au capital

Il s’agit de la forme d’investissement la plus directe : vous achetez des actions (ou parts sociales) de la start-up, devenant ainsi actionnaire. Cette prise de participation peut s’effectuer lors de différentes phases : amorçage, levée de fonds en série A, B, etc.

Ce type d’investissement vous donne potentiellement accès à une partie des bénéfices futurs (dividendes, plus-value en cas de revente), mais comporte un risque élevé de perte, surtout si la société échoue à atteindre la rentabilité ou à être revendue.

Lire aussi : Faut-il investir en Private Equity via une assurance-vie ?

Le financement obligataire

Moins courant mais de plus en plus utilisé (grâce notamment au développement des plateformes de crowdfunding), le financement obligataire consiste à prêter de l’argent à la start-up via des obligations. En échange, vous percevez des intérêts sur une durée définie avec remboursement du capital à échéance.

Ce modèle présente l’avantage de préserver votre statut de créancier plutôt que celui d’actionnaire, ce qui peut vous protéger partiellement en cas de difficultés. Toutefois, le remboursement reste incertain si la société fait faillite.

Pourquoi investir dans une start-up ?

L’investissement en start-up attire de plus en plus d’épargnants en quête de diversification, d’impact ou de forte rentabilité. Mais quels sont les véritables moteurs de cette démarche, et à quoi peut-on s’attendre en retour ?

Contribuer au développement d’un projet prometteur

Investir dans une start-up, c’est avant tout soutenir une idée, une équipe, un projet. Contrairement à des investissements plus impersonnels, vous participez ici à l’essor d’une entreprise qui cherche à changer un secteur ou à répondre à un besoin émergent.

Beaucoup d’investisseurs apprécient ce lien direct avec l’innovation et le dynamisme entrepreneurial. Certains, comme Goodvest, choisissent même de soutenir des projets alignés avec leurs convictions personnelles, en matière d’écologie, de santé ou d’inclusion sociale.

Démultiplier la valeur de votre investissement

L’un des attraits majeurs du private equity réside dans son potentiel de rentabilité élevé. Une start-up qui réussit peut multiplier sa valorisation par 5, 10, voire 50 en quelques années. Pour l’investisseur initial, cela signifie une plus-value importante lors d’une cession, d’une introduction en Bourse (IPO) ou d’un rachat.

Quelle rentabilité attendre d’un investissement en start-up ?

La rentabilité d’un investissement en start-up est extrêmement variable. Si certaines entreprises deviennent de véritables success stories, la majorité ne parvient pas à générer de retour sur investissement.

Contrairement aux placements traditionnels, la rentabilité des investissements en start-up suit une logique de "portefeuille" : une poignée d’entreprises très performantes compense les pertes des autres.

  • Environ 55 % des start-up financées retournent au moins le capital investi.
  • Seules une minorité génèrent une forte valeur ajoutée, selon les données du secteur du capital-risque.

Ainsi, selon France Invest, le capital-investissement en France a proposé des performances de 12,2 % brut annuel entre 2007 et 2021 (contre 5,1 % pour le CAC40 sur la même période). Ainsi, la prise de risque plus élevée du private equity semble compensée par un retour sur investissement particulièrement attractif. 

Bien sûr, l’univers start-up est très hétérogène et ne représente qu’une partie du capital-investissement. Sur cette même étude, le TRI du capital-innovation (indicateur proche d’un investissement en start-up) était de 12 % entre 2007 et 2021. Mais, cela concerne un portefeuille très diversifié composé de plus de 150 fonds d’investissement et ne tient pas compte du temps investi dans la gestion du portefeuille.

Pour un investisseur particulier, il apparaît particulièrement difficile de viser une telle diversification eu égard au ticket d’entrée très élevé d’un investissement start-up (nous y reviendrons).

Remarque : Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Investir dans des start-up présente un risque de perte en capital.

Comment gagner de l’argent avec une start-up ?

Contrairement aux investissements traditionnels (actions cotées, obligations), les start-up ne génèrent que très rarement des revenus réguliers (comme des dividendes). Le retour sur investissement repose principalement sur la valorisation future de l’entreprise et sur la capacité à revendre ses parts avec une plus-value. Le gain est effectif à la réalisation de différents événements : 

  • La revente lors d’une acquisition : il s’agit du cas le plus fréquent de “sortie” réussie. Une entreprise plus grande rachète la start-up pour intégrer sa technologie, son portefeuille clients ou ses talents. L’investisseur revend alors ses parts à un prix supérieur à celui de l’achat.
  • L’introduction en Bourse (IPO) : si la start-up atteint une taille significative et une rentabilité prévisible, elle peut décider d’entrer en Bourse. Cette opération permet aux actionnaires historiques (dont les investisseurs privés) de vendre tout ou partie de leurs parts sur les marchés.
  • Le rachat de vos parts par d’autres investisseurs : dans certaines levées de fonds successives, un fonds d’investissement ou un business angel peut proposer de racheter vos parts à un prix revalorisé. Cela permet une sortie anticipée.

Quels sont les risques d’investir dans une start-up ?

Si le potentiel de gain attire de nombreux investisseurs vers les start-up, il est indispensable d’en connaître les contreparties. L’investissement dans une start-up est l’un des placements les plus risqués, en raison de nombreux facteurs d’incertitude.

Le risque de perte de la totalité de l’investissement initial

C’est le risque principal et celui qu’il faut accepter d’entrée de jeu. Le modèle économique des start-up repose souvent sur une croissance déficitaire dans les premières années. Leur succès dépend de nombreux paramètres : adéquation produit/marché, stratégie de croissance, qualité de l’équipe, levées de fonds successives, respect du cadre réglementaire…

En cas d’échec, la société peut être contrainte de cesser son activité et de se retrouver en liquidation judiciaire. Dans ce cas, les actionnaires sont les derniers créanciers servis, et la perte du capital investi est quasi totale.

Lire aussi : Risques financiers : comment les maîtriser ?

L’absence de liquidité et immobilisation du capital

Contrairement à des actions cotées que l’on peut revendre en quelques clics, les parts de start-up ne sont pas liquides. Vous ne pouvez pas les vendre facilement ou à tout moment. Pour sortir, il faut :

  • Trouver un repreneur (autre investisseur ou fonds).
  • Attendre un événement de sortie (rachat, IPO…).



En moyenne, un investissement en start-up nécessite de 5 à 10 ans d’immobilisation avant d’espérer un retour. Il est donc crucial d’avoir une vision long terme et de ne pas investir un capital dont vous pourriez avoir besoin à court ou moyen terme.

Comment investir facilement dans une start-up ?

Il existe aujourd’hui plusieurs façons d’accéder au capital des start-up, selon votre profil d’investisseur, le montant que vous souhaitez engager et votre appétence au risque.

L’investissement en direct

Cette approche consiste à investir en tant que particulier directement dans une start-up. Cela peut se faire par connaissance personnelle, par cooptation, ou via des événements dédiés comme des pitchs ou des concours d’innovation.

Ce mode d’investissement offre une relation privilégiée avec les fondateurs, mais implique aussi :

  • Une analyse approfondie du projet à effectuer soi-même.
  • Un ticket d’entrée généralement plus élevé (souvent plusieurs milliers d’euros).
  • Un suivi actif (reportings, participation aux assemblées...).


Il s’adresse plutôt à des investisseurs aguerris ou fortement impliqués.

L’investissement via un fonds en capital risque (FCPR, FCPI, FIP…)

Les fonds de capital-investissement permettent de mutualiser les risques en investissant dans un portefeuille diversifié de start-up, géré par des professionnels. Il existe plusieurs types de véhicules accessibles aux particuliers :

  • FCPR (Fonds Communs de Placement à Risques).
  • FCPI (Fonds Communs de Placement dans l’Innovation).
  • FIP (Fonds d’Investissement de Proximité).


Ils sont parfois éligibles à des avantages fiscaux, notamment via l’IR-PME ou dans le cadre d’un PEA PME.

Exemple 1 : le FCPR Eiffel infrastructures vertes pour financer des projets durables

Envie d’investir utile dans l’économie réelle ? Le FCPR Eiffel Infrastructures Vertes, accessible via l’assurance vie Goodvest, vous permet de financer des projets concrets de transition écologique : parcs solaires, éoliennes, bornes de recharge...

  • Performance 2023 : +6,26 %, au-dessus de la moyenne de sa catégorie évaluée à 4,59 % (source : Quantalys, ESTER comme indice de référence).
  • Un risque maîtrisé : 3/7 sur l’indice SRI (Indicateur Synthétique de Risque)
  • Fonds à impact : financements de projets durables dans l’UE.
  • Durée d’investissement : blocage de 4 à 5 ans.
  • Fiscalité avantageuse via l’assurance-vie de Goodvest.


Un placement clé en main pour allier rendement et utilité environnementale, sans expertise technique ni gestion complexe.

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Exemple 2 : le private equity responsable de Goodvest pour investir dans des start-up 

Avec Goodvest, accédez simplement au monde fermé du private equity responsable et investissez dans des entreprises non cotées à fort potentiel, alignées avec vos valeurs.

Pourquoi choisir cette solution ?

  • Sélection rigoureuse d’entreprises durables, alignées avec l’Accord de Paris.
  • Portefeuille diversifié géré par des experts (Tikehau, Mirova…).
  • Accessibilité dès 100 000 €.
  • Avantages exclusifs : pas de frais d’entrée, cadre fiscal avantageux, performance historique solide (+13,3 %/an en moyenne de 2014 à 2023).
  • Eligible apport cession : notre portefeuille est éligible à l’obligation de réinvestissement de l’article 150 OB ter.


Un investissement clé en main pour allier rendement, impact et diversification dans un univers d’habitude réservé aux professionnels.

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L’investissement en start-up par le biais d’une plateforme de crowdequity ou de crowfunding

Les plateformes de financement participatif ont démocratisé l’accès à l’investissement en start-up. Elles permettent à chacun, même avec un petit capital (à partir de 500 € généralement), de soutenir des entreprises innovantes en phase de développement tout en construisant un portefeuille diversifié.

Deux approches à distinguer :

  • Le crowdfunding (ou prêt participatif) : vous prêtez de l’argent à une entreprise, qui vous rembourse avec intérêts sur une période définie. C’est une forme de financement obligataire, moins risquée sur le papier que le private equity, mais avec un potentiel de rendement plus limité.
  • Le crowdequity (ou equity crowdfunding) : vous devenez actionnaire de la start-up. Vous investissez au capital et espérez une plus-value à la revente de vos parts. Ce modèle vous expose pleinement aux aléas de la croissance de l’entreprise.

Ce type d’investissement nécessite néanmoins du temps pour bien choisir ses projets et de nombreuses compétences, même si tout est fait pour vous faire croire le contraire et vous rassurer. 

Lire aussi : Crowdfunding, quels sont les avantages et inconvénients ?

Ceci étant dit, voyons ensemble les critères à prendre en compte pour bien choisir une start-up dans laquelle investir.

Comment bien choisir sa start-up pour investir ?

Investir dans une start-up, c’est avant tout faire un pari sur l’avenir. La majorité de ces jeunes entreprises étant déficitaires, il ne suffit pas de regarder leurs résultats financiers (sur lesquelles peu d'indicateurs financiers traditionnels fonctionnent). Il faut analyser des critères plus qualitatifs pour évaluer leur potentiel de succès.

Compréhension et analyse du projet

Avant toute chose, il est essentiel de comprendre le cœur du projet :

  • Quelle problématique cherche-t-elle à résoudre ?
  • Le produit ou service répond-il à un vrai besoin de marché ?
  • Quelle est sa proposition de valeur face à la concurrence ?


Gardez en tête qu’on estime entre 60 et 80 % le taux d’échec des start-up à long terme. Il est donc impératif d’investir dans un projet auquel vous croyez personnellement.

Analyse des comptes et des perspectives de croissance

Même si les résultats financiers sont souvent peu révélateurs à ce stade, ils peuvent donner des indices utiles :

  • Le porteur de projet a-t-il su faire beaucoup avec peu ?
  • Les projections de croissance semblent-elles réalistes ?
  • L’utilisation prévue des fonds levés est-elle cohérente ?


Cela permet de juger du pragmatisme de l’équipe dirigeante et de sa capacité à gérer la trésorerie.

La qualité de l'équipe dirigeante 

Une bonne idée ne suffit pas. Ce sont les personnes qui la portent qui font la différence :

  • Les fondateurs sont-ils compétents et complémentaires ?
  • Leur vision est-elle alignée avec la stratégie annoncée ?
  • Ont-ils un historique crédible ou une première réussite entrepreneuriale ?


Les erreurs de gouvernance, les conflits internes ou une mauvaise gestion peuvent faire échouer même les meilleurs projets.

Les perspectives de sortie

Anticiper dès le départ comment et à qui vous pourrez revendre vos parts est une stratégie essentielle pour sécuriser votre investissement :

  • Le secteur est-il connu pour ses fusions-acquisitions fréquentes ?
  • Existe-t-il des grands groupes susceptibles de racheter la start-up si elle réussit ?
  • Le business model prévoit-il une revente ou une IPO à moyen terme ?


Poser ces questions permet d’évaluer la probabilité d’un “exit” réussi, et donc la liquidité potentielle de votre placement, souvent ignorée lors de l’entrée au capital.

Conseil de Goodvest : Investir aux côtés de grandes entreprises du même secteur d’activité que la start-up est généralement un bon signal pour envisager un exit futur.

Nos conseils pour bien investir dans une start-up

L’investissement en start-up peut être une formidable opportunité… à condition d’adopter quelques bonnes pratiques pour limiter les risques et maximiser vos chances de réussite.

La diversification pour répartir le risque

C’est la règle d’or. Étant donné le taux élevé d’échec des start-up, il est essentiel de ne pas concentrer tout votre capital sur un seul projet :

  • Investissez dans plusieurs start-up, idéalement aux profils variés.
  • Intégrez-les dans un patrimoine plus large incluant des actifs liquides et plus stables (actions cotées, immobilier, fonds diversifiés…).


En clair : les start-up doivent représenter la cerise sur le gâteau, pas la base de votre patrimoine.

Lire aussi : La pyramide de l’investissement, ou comment diversifier son patrimoine financier

Pensez aux avantages fiscaux

Certains dispositifs permettent de réduire l’imposition liée à vos investissements :

  • IR-PME : réduction d’impôt sur le revenu allant jusqu’à 25 % de la somme investie dans certaines start-up.
  • PEA-PME : possibilité de loger des actions de start-up européennes dans un plan d’épargne en actions PME, avec exonération d’impôt sur les gains après 5 ans.


Ces dispositifs sont soumis à conditions. N’hésitez pas à vous faire accompagner pour en bénéficier.

Anciens dirigeants : profitez des avantages fiscaux de l’apport cession

Si vous avez récemment cédé une entreprise, vous pouvez réinvestir le produit de cette vente dans des start-up via un apport à une holding, ce qui permet de reporter voire d’exonérer la plus-value. Un outil intéressant pour recycler intelligemment un capital professionnel vers l’innovation.

Lire aussi : Dans quoi investir après la cession de son entreprise ?

Faut-il investir dans une start-up ? Notre avis

Investir dans une start-up peut être à la fois excitant et rentable, mais cela reste un pari risqué. Ce type de placement s’adresse avant tout aux investisseurs qui :

  • souhaitent diversifier leur patrimoine,
  • ont une appétence pour l’innovation,
  • acceptent une immobilisation longue de leur capital,
  • et comprennent qu’un échec est une possibilité réelle.


Heureusement, des solutions existent pour réduire les risques tout en profitant du potentiel de croissance de ce marché. L’accès à des fonds spécialisés, comme ceux proposés par Goodvest, permet d’investir de manière diversifiée dans des entreprises sélectionnées avec rigueur et selon des critères environnementaux exigeants.

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