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Le PER pour "les nuls" : guide pour débutant

Le PER pour "les nuls" : guide pour débutant

Le Plan d’Épargne Retraite (PER) est un dispositif incontournable pour préparer sa retraite tout en optimisant sa fiscalité. Instauré par la loi Pacte en 2019, il remplace progressivement les anciens produits d’épargne retraite et offre une grande flexibilité en matière de gestion et de sortie des fonds. Mais comment fonctionne réellement un PER ? Quels sont ses avantages et ses spécificités fiscales ? Comment bien choisir son contrat pour maximiser sa rentabilité ? Ce guide détaillé vous aidera à comprendre le PER en toute simplicité.

Qu’est-ce qu’un PER ?

Le Plan d’Épargne Retraite (PER) est un dispositif d’épargne spécialement conçu pour préparer une retraite supplémentaire par capitalisation. Instauré par la loi Pacte en 2019, il remplace progressivement les anciens contrats d’épargne retraite comme le PERP, le contrat Madelin ou encore l’article 83.

Le principe est simple : tout au long de votre vie active, vous alimentez votre PER par des versements volontaires, des primes d’entreprise ou des cotisations obligatoires. En contrepartie, vous bénéficiez d’un cadre fiscal avantageux, notamment une possibilité de déduction des versements de votre revenu imposable.

À l’âge de la retraite (ou dans certains cas exceptionnels), vous pouvez récupérer votre épargne sous forme de rente, de capital ou d’un mix des deux, selon vos besoins. Grâce à sa flexibilité et à ses incitations fiscales, le PER s’impose aujourd’hui comme un outil essentiel pour anticiper sa retraite tout en optimisant sa fiscalité.

Lire aussi : Quels sont les meilleurs PER en 2025 ?

Pourquoi ouvrir un PER ?

Le PER est un outil d’épargne avantageux pour plusieurs raisons. Il permet non seulement d’anticiper la baisse de revenus à la retraite, mais aussi de bénéficier d’un cadre fiscal attractif et d’une grande flexibilité quant aux modalités de sortie.

Voici les principaux atouts qui peuvent inciter à ouvrir un PER :

  • Se constituer une épargne pour la retraite : Le PER permet d’accumuler un capital tout au long de la vie active, avec la garantie de disposer d’une épargne disponible au moment du départ à la retraite.
  • Profiter d’un avantage fiscal immédiat : Les versements volontaires effectués sur un PER peuvent être déduits du revenu imposable, réduisant ainsi l’impôt à payer chaque année, sous réserve du respect des plafonds fiscaux.
  • Bénéficier d’une fiscalité adaptée à la sortie : Selon les options choisies (sortie en capital, rente ou mixte), la fiscalité appliquée peut être optimisée pour limiter l’impact sur l’imposition à la retraite.
  • Une épargne souple et transférable : Grâce à la loi Pacte, les épargnants peuvent transférer leur PER d’un établissement à un autre ou regrouper différents PER pour simplifier leur gestion.
  • Des cas de déblocage anticipé : Bien que le PER soit conçu pour être utilisé à la retraite, il est possible de récupérer son épargne avant cette échéance dans certains cas spécifiques, comme l’acquisition de la résidence principale ou en cas de coup dur (invalidité, décès du conjoint, surendettement, etc.).

Ce dispositif s’adresse donc aussi bien aux travailleurs indépendants qu’aux salariés souhaitant préparer leur avenir tout en optimisant leur fiscalité.

Lire aussi : Existe-t-il un âge limite pour ouvrir un PER ?

Les différents types de contrat PER

Il est possible de distinguer deux types de PER en fonction de la personne qui le souscrit : 

  • Le PER individuel qui peut être souscrit par toute personne physique majeure qui souhaite épargner pour sa retraite. C’est le cas par exemple du PER de Goodvest.
  • Le PER entreprise, mis en place au niveau de l’entreprise par l’employeur. Il permet aux salariés et dirigeants de placer notamment leur prime (d'intéressement et participation), de profiter d'éventuels abondements, mais aussi d’effectuer des versements volontaires. Ce PER peut revêtir un caractère obligatoire pour certaines catégories de salariés où l’employeur a l’obligation de l’alimenter en raison de l’application d’un accord collectif. On parle alors communément de PER obligatoire.

Il faut bien comprendre que ces deux PER sont deux contrats différents, l’un au niveau de l’entreprise et l’autre à titre individuel. Leurs régimes, notamment fiscaux diffèrent et les supports proposés ne seront pas les mêmes (puisque les supports proposés dépendent du contrat souscrit et du gestionnaire).

Conseil de Goodvest : Vous pouvez souscrire un PER individuel à tout moment sans condition spécifique !

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Les compartiments et la transférabilité des contrats PER

Au demeurant, il est tout à fait possible d’avoir plusieurs PER individuel et entreprise simultanément, mais pour faciliter la gestion de l’épargne retraite, la loi Pacte favorise la transférabilité des fonds entre les PER en vue de les centraliser sur un seul contrat si l’épargnant le souhaite. 

Mais, comme nous l’avons dit, les avoirs d’un PER individuel et d’un PER entreprise n’ont pas forcément la même provenance (versement volontaire, épargne obligatoire, primes…) et ne se voient pas appliquer les mêmes règles fiscales et modalités de sortie.

Pour distinguer l'origine des fonds et le régime applicable, chaque PER (peu importe qu’il s’agisse d’un PER souscrit à titre individuel ou au niveau de l’entreprise) est divisé en 3 compartiments en fonction de la nature des versements :

  • Le compartiment 1 accueille les versements volontaires de l’épargnant ou l’avoir des anciens contrats retraites type PERP, Madelin ou Préfon.
  • Le compartiment 2 regroupe les fonds issus de l'épargne salariale c'est-à-dire les primes versées dans le PER (intéressement, participation), l’éventuel abondement de l’employeur ainsi que les sommes transférées provenant d’un ancien contrat retraite, le PERCO.
  • Le compartiment 3 est dédié aux versements obligatoires de l’employeur en application d’un accord collectif ainsi que les sommes transférées provenant de l’ancien contrat joliment nommé “Article 83”.

Exemple de transfert : Marie quitte son entreprise où elle avait un PER entreprise collectif alimenté par des primes d’intéressement et un abondement employeur (compartiment 2). Pour simplifier la gestion de son épargne retraite, elle décide de transférer ces fonds vers son PER individuel.

Elle fait la demande auprès de l’organisme gestionnaire, qui transfère les sommes éligibles vers le compartiment 2 de son PER individuel. Ainsi, elle centralise son épargne tout en conservant les avantages fiscaux et les modalités de sortie spécifiques.

Lire aussi : Comment transférer son PER ?

Comment fonctionne un PER ?

Le PER est un contrat permettant d’investir dans des supports financiers. Le PER n’est pas un placement à proprement parler, mais un véhicule permettant d’accéder à une gamme de supports d’investissement proposés par le contrat. Pour cette raison notamment, certains PER seront mieux que d’autres ! 

En fonction du mode de gestion choisi, le placement de vos versements se fera automatiquement (gestion pilotée) ou manuellement (gestion libre).

Les versements vers un PER

L’alimentation d’un PER dépend du type de contrat souscrit. Il existe deux principales sources de versements : les versements volontaires, effectués par l’épargnant selon ses capacités financières et ses objectifs d’épargne dans un PER individuel ou entreprise, et les versements spécifiques au PER d’entreprise qui sont :

  • L’épargne salariale : les primes d’intéressement et de participation peuvent être placées directement sur le PER d’entreprise, dans un cadre fiscal avantageux.
  • L’abondement de l’employeur : l’entreprise peut verser un complément aux sommes investies par le salarié, sous certaines limites, notamment fiscales.
  • Les versements obligatoires : dans le cadre d’un PER obligatoire, une partie du salaire peut être directement affectée à l’épargne retraite, sans possibilité de retrait avant la retraite (sauf exception).

La déduction fiscale des versements volontaires

L’un des principaux avantages du PER est la possibilité de déduire les versements volontaires du revenu imposable, permettant ainsi de réduire l’impôt sur le revenu. Cette option est accessible pour tous les versements volontaires effectués sur un PER, qu’il soit individuel ou d’entreprise

La déduction fiscale des versements volontaires est soumise aux plafonds suivants :

  • 10 % des revenus professionnels de l’année précédente, avec un maximum de 37 094 €.
  • 4 637 € minimum pour les personnes ayant de faibles revenus ou n’ayant pas exercé d’activité professionnelle l’année précédente.

Conseil de Goodvest : Utilisez notre simulateur PER pour calculer votre économie d’impôt.

Toutefois, comme nous le verrons, choisir la déduction fiscale des versements volontaires entraîne une fiscalité plus importante à la sortie : 

  • Sortie en capital : la part correspondant aux versements déduits est soumise à l’impôt sur le revenu (selon le barème progressif), tandis que les gains générés sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30 %.
  • Sortie en rente : la rente viagère issue de ces versements est intégralement imposée comme une pension de retraite, avec application des prélèvements sociaux.

Il est donc nécessaire de faire un arbitrage entre minimiser vos impôts immédiatement ou profiter d’une fiscalité moins importante à la sortie. 

Lire aussi : Comment défiscaliser avec un PER ?

Le régime fiscal des versements issus de l’épargne salariale 

Dans un PER d’entreprise, il est possible d’y verser des sommes issues de l’épargne salariale dont notamment :

  • Primes d’intéressement et de participation : attribuées par l’employeur selon les résultats de l’entreprise.
  • Abondement de l’employeur : complément versé pour inciter à l’épargne retraite (dans la limite de 3 fois le versement du salarié et 7 414,88 € en 2024).

Ces versements sont exonérés d’impôt sur le revenu bien qu’ils restent soumis aux prélèvements sociaux (CSG/CRDS) à 9,7 %.  

Ce régime est particulièrement avantageux par rapport à la fiscalité applicable aux primes qui auraient été versées directement sur compte du salarié. Dans ce cas, le salarié aurait payé l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux (17,2 %) sur sa prime.

Le placement des sommes versées sur le PER

Les sommes versées sur un Plan d’Épargne Retraite (PER) ne restent pas sur un compte inactif : elles sont investies sur différents supports financiers, qui varient en fonction du contrat et du gestionnaire.

Les supports d’investissement disponibles

Les fonds investis dans un PER peuvent être placés sur deux grandes catégories de supports :

  • Le fonds en euros : il garantit le capital investi et offre un rendement faible, mais sécurisé.
  • Les unités de compte (UC) : elles permettent d’investir en actions, obligations ou ETF. Leur performance peut être plus élevée, mais elles présentent un risque de perte en capital.

Parmi les unités de compte disponibles dans un PER, on trouve généralement :

  • Actions : investissement direct dans des entreprises cotées en Bourse.
  • Obligations : titres de créance émis par des États ou des entreprises.
  • ETF (trackers) : fonds indiciels répliquant la performance d’un indice boursier.
  • SCPI et OPCI : placements dans l’immobilier.

Chaque gestionnaire de PER propose une sélection de supports, qui peuvent différer en qualité, en performance et en frais de gestion. Il est donc essentiel de comparer les contrats pour choisir le plus adapté à son profil d’investisseur.

Lire aussi : PER fonds euros : la bonne solution pour votre épargne retraite ?

Les modes de gestion du PER

L’épargnant a généralement le choix entre deux modes de gestion :

  • Gestion pilotée : l’allocation d’actifs est confiée à un gestionnaire, qui adapte progressivement les placements en fonction du profil de risque et de l’horizon de placement. À l’approche de la retraite, les investissements sont progressivement sécurisés.
  • Gestion libre : l’épargnant choisit lui-même ses supports d’investissement et gère son portefeuille selon sa propre stratégie.

La gestion pilotée est souvent préférable pour la majorité des épargnants, car elle permet une diversification optimisée et une sécurisation progressive des investissements, sans nécessiter de suivi régulier.

Lire aussi : Pourquoi choisir un PER en gestion pilotée ?

Des PER spécialisés selon les thématiques d’investissement

Certains PER se distinguent par leur orientation d’investissement. Par exemple, le PER de Goodvest est conçu pour l’investissement responsable. Il permet d’allouer son épargne à des secteurs comme :

L’objectif est ainsi de faire fructifier son épargne tout en contribuant au développement durable et humain. Découvrez dès maintenant nos thématiques d'investissement !

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Les modalités de sortie du PER

Le PER est conçu pour constituer une épargne de long terme, bloquée jusqu’à l’âge de la retraite. Une fois cette échéance atteinte, l’épargnant peut choisir entre plusieurs modes de sortie :

  • Sortie en capital : récupération totale ou partielle de l’épargne sous forme de versement unique ou fractionné (impossible pour les versements issus du compartiment 3).
  • Sortie en rente viagère : conversion de l’épargne en un revenu régulier versé à vie.
  • Sortie mixte : combinaison entre capital et rente pour plus de flexibilité.

Lire aussi : Sortie du PER : rente ou capital ?

Bien que les sommes placées soient bloquées jusqu’à la retraite, la loi prévoit six situations exceptionnelles où l’épargne peut être retirée avant l’échéance :

  1. L’acquisition de la résidence principale (uniquement pour les sommes issues des versements volontaires).
  2. L’invalidité de l’épargnant, de son conjoint ou de ses enfants (correspondant aux catégories 2 et 3 de la Sécurité sociale).
  3. Le décès du conjoint ou du partenaire de PACS.
  4. Le surendettement de l’épargnant, sur décision de la commission de surendettement de la Banque de France.
  5. L’expiration des droits aux allocations chômage après une période prolongée de chômage.
  6. La cessation d’activité non salariée suite à une liquidation judiciaire.

Quelle est la fiscalité de sortie du PER ?

La fiscalité appliquée à la sortie du Plan d’Épargne Retraite (PER) dépend de plusieurs facteurs :

  • L’origine des sommes retirées (versements volontaires, épargne salariale ou versements obligatoires).
  • Le mode de sortie choisi (capital ou rente).
  • Le choix effectué lors des versements (déduction fiscale ou non).

Il est donc essentiel de bien comprendre les règles fiscales applicables à chaque compartiment du PER pour optimiser la fiscalité à la sortie.

Lire aussi : Tout savoir sur fiscalité du PER : versement, rachats, sortie, succession

La fiscalité de sortie pour les versements volontaires (compartiment 1)

Les sommes issues des versements volontaires peuvent être récupérées sous forme de capital ou de rente viagère. La fiscalité dépend alors de si les versements ont été déduits ou non du revenu imposable à l’entrée.

Fiscalité en cas de sortie en capital

Type de montant retiré Versements déduits à l’entrée Versements non déduits à l’entrée
Capital correspondant aux versements Imposé selon le barème progressif de l’impôt sur le revenu Exonéré d’impôt
Gains générés Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30 % (12,8 % d’IR + 17,2 % de prélèvements sociaux) Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30 % (12,8 % d’IR + 17,2 % de prélèvements sociaux)

Fiscalité en cas de sortie en rente viagère

Si l’épargnant opte pour une rente viagère, la fiscalité varie en fonction de la déduction fiscale des versements :

  • Si les versements ont été déduits du revenu imposable : la rente est imposée comme une pension de retraite, soumise au barème progressif de l’IR après un abattement de 10 %, et aux prélèvements sociaux à 17,2 %.
  • Si les versements n’ont pas été déduits : seule une fraction de la rente est imposée, selon l’âge de l’épargnant au moment du premier versement (ex. : 40 % imposables si la rente débute entre 60 et 69 ans).

La fiscalité de sortie pour les versements issus de l’épargne salariale (compartiment 2 et 3)

La fiscalité des sommes issues de l’épargne salariale (compartiment 2) et des versements obligatoires (compartiment 3) dépend du mode de sortie choisi.

Sortie en capital

Pour le compartiment 2 (épargne salariale : intéressement, participation, abondement) : 

  • Capital correspondant aux versements : exonéré d’impôt sur le revenu.
  • Gains générés : soumis aux prélèvements sociaux de 17,2 %.

Pour le compartiment 3 (versements obligatoires) :

  • Capital correspondant aux versements : imposé au barème progressif de l’IR.
  • Gains générés : soumis aux prélèvements sociaux de 17,2 %.

Sortie en rente viagère

  • Compartiment 2 : la rente est imposée selon le même régime que les rentes viagères à titre onéreux, c’est-à-dire que seule une fraction est soumise à l’impôt en fonction de l’âge de l’épargnant au premier versement.
  • Compartiment 3 : la rente est intégralement imposée comme une pension de retraite (barème de l’IR après un abattement de 10 %) et soumise aux prélèvements sociaux de 17,2 %.

Les frais du PER : un impact réel sur la performance 

Le PER est un placement de long terme, mais les frais appliqués peuvent avoir un impact significatif sur la performance finale. Bien que ces frais ne soient pas toujours visibles, car ils sont directement prélevés sur l’encours, ils réduisent progressivement la rentabilité du capital investi.

Un PER comporte généralement deux types de frais :

  • Les frais du contrat : appliqués par l’assureur ou le gestionnaire du PER.
  • Les frais des supports d’investissement : liés aux fonds et ETF dans lesquels l’épargne est placée.

Les principaux frais rencontrés dans un PER

Type de frais Explication Montant moyen constaté
Frais sur versement Prélevés à chaque dépôt d’argent sur le PER Jusqu’à 5 %
Frais de gestion du contrat Appliqués chaque année sur l’encours total Environ 0,5 % à 1 % par an
Frais de gestion des supports Prélevés par les fonds ou ETF dans lesquels l’épargne est investie Entre 0,1 % et 2 % par an
Frais d’arbitrage Facturés lors du changement de supports d’investissement Entre 0 et 1 % par arbitrage
Frais de sortie en rente Appliqués en cas de conversion en rente viagère Entre 0 et 3 %

Quel est l’impact des frais sur la rentabilité du PER ?

Pour mieux visualiser l’impact des frais sur votre épargne retraite, comparons deux PER sur une période de 40 ans, avec un même investissement initial et un rendement théorique identique de 8 % par an. Le premier, purement théorique, ne comporte aucuns frais (ce qui n’existe pas en réalité), tandis que le second applique des frais annuels de 2 %.

Au bout de 40 ans, le manque à gagner en raison des frais de gestion de 2 % par an s'élève à 114 388 €. Cela illustre l'impact considérable des frais sur le long terme. En effet, plus la durée de placement est longue, plus l'impact des frais de gestion est important et affecte drastiquement la capitalisation des intérêts.

Choisir un PER avec des frais réduits peut faire une grande différence dans la performance de votre épargne.

Un PER optimisé en frais : le cas de Goodvest

Le PER Goodvest se distingue par une structure de frais optimisée pour maximiser la rentabilité des épargnants :

  • Aucuns frais sur versement, d’arbitrage ni d’entrée, contrairement à de nombreux PER traditionnels.
  • Frais de gestion réduits et transparents.
  • Supports d’investissement rigoureusement sélectionnés pour limiter les frais internes (fonds indiciels et ETF à faible coût).

En réduisant les frais au minimum, le PER Goodvest permet aux épargnants de bénéficier d’une meilleure performance nette sur le long terme tout en contribuant à réduire l’impact carbone de vos investissements ! Découvrez dès maintenant nos tarifs !

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Goodvest

Le Plan d’Épargne Retraite (PER) est un dispositif incontournable pour préparer sa retraite tout en optimisant sa fiscalité. Instauré par la loi Pacte en 2019, il remplace progressivement les anciens produits d’épargne retraite et offre une grande flexibilité en matière de gestion et de sortie des fonds. Mais comment fonctionne réellement un PER ? Quels sont ses avantages et ses spécificités fiscales ? Comment bien choisir son contrat pour maximiser sa rentabilité ? Ce guide détaillé vous aidera à comprendre le PER en toute simplicité.

Questions fréquentes sur le Plan Épargne Retraite

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